Sur son premier single, la jeune messine remet en question les relations amoureuses d’aujourd’hui !
• Face à la complexité des sentiments ! ⇒ Pour beaucoup, c’est au travers du célèbre télé-crochet La France A Un Incroyable Talent que vous avez pu vous familiariser avec cette jeune artiste pleine d’énergie sur laquelle nous allons nous concentrer ici. Effectivement, la prodige en herbe, repérée par la production suite à sa reprise de l’incontournable « Voilà » que l’on doit à Barbara Pravi, a su brillamment s’illustrer lors de la dernière saison du programme et s’installer de fait à la quatrième place du concours parmi douze finalistes. De quoi donner un coup d’accélérateur non négligeable à la dénommée Orilia afin de convenablement démarrer sa carrière, vous en conviendrez !
Depuis quelques semaines, la demoiselle – qui nous vient tout droit de Metz – poursuit donc son petit bout de chemin et nous sert en conséquence un tout premier single, l’enivrant et poignant à souhait « Le Monde Est À Nous ». Au travers de cette délicate ballade à la croisée des chemins entre le rock et la variété française saupoudrée d’une pop on ne peut plus colorée, Orilia donne de la voix pour toute une génération, sa génération, et se questionne quant au rapport à l’amour au sein-même de cette société où tout va vite au point d’en perdre parfois ses repères.
À proprement parler, « Le Monde Est À Nous » fait résolument office d’exutoire pour Orilia qui analyse les différentes facettes et possibilités qu’offre l’amour aujourd’hui. Libératrice, la chanson amène à poser une réflexion mesurée quant à la sexualité et ce qu’elle peut impliquer, entre la bisexualité ou encore le polyamour, tandis que la jeunesse déconstruit les normes et laisse davantage place à la tolérance, à l’universalité des sentiments, privilégie en d’autres termes le bonheur véritable sans barrières ni frontières tout bonnement.
Chose que dépeint d’ailleurs avec justesse le clip à visionner ci-dessous. Sobre et tendre à souhait, celui-ci transpose à l’écran ces remises en question qui prennent parfaitement vie et crèvent l’écran par le prisme de trois protagonistes aux liens intensément indéfectibles
