La jeune artiste est de retour avec le premier extrait d’un quatrième album prévu pour l’automne !
• « So shut the door, dim the lights … » ⇒ Son dernier album en date, « Twisted », paraissait il y a un peu plus de deux ans, en pleine pandémie, et n’avait alors malheureusement pu être défendu comme il se doit. Malgré tout, Marina Kaye a su prendre le recul nécessaire et s’est depuis faite résolument discrète pour mieux rebondir et de fait préparer un retour en grande pompe. Celui-ci ponctué par l’arrivée d’un quatrième et nouvel album attendu cette année, plus précisément dans le courant de l’automne, qui puisera essentiellement son inspiration dans ce que l’amour a pu lui apporter de plus beau ces derniers temps, elle qui annonçait d’ailleurs ses fiançailles au mois de janvier dernier.
Car oui, pour la première fois, le bonheur semble avoir véritablement percuté Marina Kaye en plein cœur. Et par conséquent, l’interprète de « The Whole 9 » a tout bonnement choisi de le célébrer en bonne et due forme sur l’ensemble de ses nouvelles compositions. « L’amour a été le déclic. Je me sens apaisée, équilibrée et j’assume totalement mes nouveaux textes qui mettent l’amour au cœur de mes chansons » confie-t-elle au détour d’un communiqué de presse.
Pour autant, hors de question d’omettre le passé dans son récit et de tirer un trait sur ces expériences humaines qui l’ont forgée jusqu’à présent. Marina Kaye entend bien dresser une sorte de bilan, et transposer en musique aussi bien les mauvais souvenirs que les plus heureux, et c’est ce qu’elle s’est engagée à faire le temps de l’enivrant « Heavenbound », le premier extrait de ce nouveau disque à venir, fraîchement disponible depuis quelques heures au moment où nous écrivons ces lignes, et à découvrir sans hésiter ci-dessous au gré de sa mise en images tout aussi somptueuse et finement immersive.
Travaillé avec ses complices de longue date Nina Woodford et Mathias Wollo, « Heavenbound » explore une prise de conscience qui s’est révélée presque comme un déclic, elle qui a toujours considéré les excès et manquements dans une relation pour quelque chose de tout à fait normal. « J’étais dans une vision erronée de l’amour » atteste Marina Kaye. « Je prenais quelque chose de toxique pour une forme de normalité, et c’est en travaillant sur le titre « Heavenbound » que je suis sortie du déni. Ce titre marque mon éveil. » En conclusion, et pour reprendre ses mots, ce que la chenille appelle la mort, le papillon l’appelle renaissance. Et c’est donc plus épanouie que jamais, plus libérée et plus féminine encore que l’artiste prend un nouvel envol vers de jolies surprises qu’il nous tarde de partager à ses côtés !
