La jeune prodige livre un cri du cœur poignant face aux injustices et disparités !
• Une prise de position sensible et sincère ! ⇒ Quelques minutes après l’issue du débat d’entre deux tours en vue de l’élection présidentielle qui se tiendra ce dimanche, SANTA livrait par surprise, sur la toile, une toute nouvelle chanson inédite. Après l’accueil dithyrambique du premier extrait de son projet solo, l’enivrant et somptueux « Popcorn Salé », c’est avec le sensible manifeste « Qui A Le Droit » que la jeune artiste donne de la voix face à ses préoccupations que beaucoup partagent également. Une habile façon pour l’artiste de soulever en toute sincérité de multiples interrogations face à certains sujets qui se doivent de résonner et susciter l’intérêt de toute urgence, sans se montrer moralisatrice, et d’inviter quiconque recevra son propos à la réflexion dans l’optique de faire bouger les lignes.
De fait, au gré de sa plus belle plume et d’une écriture tout à fait riche sur fond de ballade gagnant en intensité, ce cri du cœur pointe du doigt la segmentation de la société en diverses cases. L’appel n’en demeure qu’évident, il est l’heure d’unir pour de bon plutôt que de diviser pour mieux régner. Alors, SANTA s’en remet à la bienveillance pour combattre le racisme, l’homophobie, le cyber harcèlement, l’indifférence vis-à-vis de celles et ceux qui luttent pour notre bien-être au quotidien, le manque de considération à l’égard de nos personnels de santé, les violences conjugales, le séparatisme selon les croyances religieuses et les stigmatisations qui en découlent.
« Qui A Le Droit », c’est un vibrant hommage à tout un chacun qui subit, de près ou de loin, ces injustices, et l’envie folle de matérialiser l’effet miroir. Celui dont le prisme saura reconstituer les bases d’un vivre ensemble où la tolérance, l’insouciance et la communion des âmes et êtres sans distinction quelle qu’elle soit primera. Pour cela, il ne faut bien entendu pas s’interdire de préserver une part d’enfance. Contempler une vision plus innocente et paisible du monde. Ce tandis que rêver en grand du meilleur s’impose au-delà de la haine, faire en sorte les mots répondent aux maux et les pansent avec foi et passion, humilité et humanité.