L’artiste initie un voyage spatiotemporel pour une réflexion ancrée dans son époque !
• « Besoin d’une mise à jour, plus rien n’existe autour … » ⇒ Nous sommes en 2013 lorsque la jeune Paulette, alors âgée de dix-huit ans, fait ses premières armes dans le monde de la musique et séduit le public de la Star Academy programmée à ce moment-ci sur NRJ12. S’ensuivront suite à cette expérience tout à fait formatrice de nombreuses opportunités dont celle de partager notamment, la même année, le single « C’Est Juste Toi Et Moi » avec Fally Ipupa tandis qu’elle signe en parallèle sur le label Capitol. De fil en aiguille, la demoiselle multiplie les occasions et participe à quelques auditions dans l’optique de rejoindre le projet franco-britannique The Binôme.
Nous sommes désormais en 2020 et il est l’heure pour Pauline Maserati – de son vrai nom – d’accepter une proposition de coproduction avec PlayTwo et Explay Music dans le but de dévoiler son nouveau titre « C’Est Pas Moi, C’Est Les Autres ». C’est un nouveau départ donc pour l’artiste qui en aura profité pour s’entourer de toutes nouvelles équipes avant de repartir de plus belle, depuis peu, en indépendance complète, en vue de nous servir un projet que nous attendons impatiemment pour le courant de l’année prochaine.
D’ici à ce que nous puissions mettre la main sur l’entièreté du format pour lequel elle aura su définir son art selon ses envies les plus intrinsèques, Paulette en offre depuis quelques semaines maintenant un premier avant-goût, l’enivrant « Metaverse » doté d’une production hybride à la croisée la plus habile possible des chemins entre la pop et l’électro contemporaines.
Au détour de ce single-ci, la jeune femme étaye une réflexion en phase avec son temps, face au virtuel qui aura su s’accaparer nos vies au quotidien tandis qu’il est difficile de s’en détacher, d’en faire abstraction. Consciente de l’impact des réseaux sociaux, à l’heure où la montée en puissance de la réalité virtuelle bat son plein, Paulette évoque le sentiment d’être perdue, malgré elle, entre deux mondes qui auront en définitive fusionné au même titre que sa vie sociale en pâtit.
Pour la mise en images, pensée par ses propres soins, Paulette a choisi de nous convier au cœur-même d’un voyage spatiotemporel déroutant. En effet, nous y retrouvons la jeune prodige dans un univers résolument futuriste, où des scientifiques en ont fait leur humanoïde projetée dans une réalité alternative, complètement irréelle. Malgré tout, au fur et à mesure, les sentiments les plus palpables reprennent le dessus, et cette dernière parvient à s’extirper de ce monde présentement dépeint, aussi bien inspiré des séries West World et Black Mirror que du roman 1984 que l’on doit à George Orwell, et de reprendre petit à petit le contrôle sur sa vie tout en rendant compte des dommages occasionnés en majorité contre son gré.
Sans plus attendre, partez en compagnie de Paulette dans un « Metaverse » saisissant, en attendant la suite d’un récit qui promet de belles surprises à l’image de la créativité sans limites de son autrice !