Trois lettres pour un univers bien établi, surprenant et assumé, éclectique et intense !
• « Quand j’te dis putain, ouais t’aimes ça … » ⇒ Pour la jeune KNL, la musique est tout simplement une histoire de famille à part entière. Tous, au sein-même du cocon, s’emplissent depuis toujours d’une passion indéfectible pour ce quatrième art synonyme de richesse culturelle à tous points de vue. Alors, pour l’artiste en herbe, dès sa plus tendre enfance, il est tout à fait aisé de découvrir les influences de chacun, du papa et de la maman jusqu’à ses grands frères mais aussi sa belle-mère. Ainsi, elle étoffe son catalogue de références entre le rock, le rap, l’électro et consorts, et finit par en comprendre les essences respectives. Ce pour finalement définir ce qui deviendra une poignée d’années plus tard seulement son véritable univers. Et c’est une évidence, la demoiselle compte bien faire carrière et sait pertinemment se donner les moyens pour parvenir à concrétiser ses rêves les plus fous !
Depuis quelques jours maintenant, KNL présente son tout premier single, annonciateur forcément d’un projet plus conséquent actuellement dans les tuyaux et qui ne devrait plus trop tarder à voir le jour. En tout cas, nous l’espérons ! D’entrée, l’intéressée joue la carte de la surprise, et sort des sentiers battus au détour d’un « Putain » qui ne manque pas de nonchalance. Bien au contraire ! La passion d’un amour éphémère y est le centre de la question. Et c’est avec un langage cru, sans équivoque, épaulée par son amie Sandra Nicolle à la coécriture, que sans tabou elle se laisse aller à l’expression la plus sincère et directe de ses ressentiments.
Dans « Putain », KNL explore effectivement une idylle d’été à jamais figée dans le temps. Si elle savait à quoi s’en tenir quelque part, l’espoir de pouvoir poursuivre cette relation transpire au gré des paroles. Avec mélancolie, elle s’en remet donc à ces beaux souvenirs fusionnels qu’elle garde dans un coin de sa tête et qu’elle ne compte oublier pour rien au monde. Comme pour voir perdurer cet amour malheureusement rompu. Et cette mélancolie nostalgique à souhait, c’est sous la direction de Lucie Fièvre à la réalisation qu’elle a su la matérialiser au mieux, au même titre que grimpe la température ! Regardez !