De la mélancolie naît le relativisme et l’espoir !
• Aux antipodes du climat actuel ! ⇒ Son nom ne vous est peut-être pas familier pour le moment, mais Gregory Dillon a toutes les cartes en main pour s’imposer en véritable figure emblématique du relativisme à l’état pur. Plébiscité à l’internationale par ailleurs, ce qui lui aura valu de prestigieux articles dans les colonnes de Billboard et Highclouds notamment, le jeune homme originaire de la Nouvelle Angleterre nourrit son art et sa passion pour la musique à l’aide d’un simple et maître mot d’ordre : l’espoir. Actif depuis plus de deux ans, l’artiste ne cesse de repousser ses limites en termes de créativité, et davantage depuis qu’il a déménagé à New York, là où tout a commencé en définitive. En effet, c’est ici-même qu’il commence à travailler sur ses premières compositions et alimente sa conception de la musique en ravivant la flamme de la pop des années ’80. Celle que l’on doit à Rick Astley, Depeche Mode, Talk Talk, The Cure… pour ne citer que ces possibles influences.
Après avoir étoffé ses travaux et publié une pluie d’inédits sur ses réseaux, tout en se constituant par la présente une solide communauté, Gregory Dillon passe à présent la vitesse supérieure. Pour ce faire, le jeune homme propose maintenant son tout premier EP, sobrement baptisé « Sad Magic », récemment défendu au gré du single éponyme et de sa lyrics video. Le temps de cinq nouvelles chansons, ce dernier ravive la flamme de l’âme, intacte malgré les épreuves. La thérapie qu’il permet d’entreprendre à son auditeur en musique rappelle à quel point il est important de prendre du recul sur nos chagrins et désillusions pour finalement n’en retirer que du positif. L’espoir transpire sur l’ensemble de ce mini format prometteur, relativiste à souhait, qui fait office de mémo en vue de jours meilleurs comme quoi la fatalité n’a aucunement le mérite de s’imposer de quelque manière qui soit dans nos vies respectives. Écoutez !