L’après « Adore » pour Amy Shark !
• Présentation ⇒ Après s’être vue remettre le titre de chanson de l’année du Queensland pour son single « Adore » paru l’année dernière, Amy Shark en a profité dans la foulée pour dévoiler son nouvel EP « Night Thinker », disponible depuis ce 21 avril 2017. Au programme parmi les six morceaux composant ce projet, « Weekends » et « Drive You Mad » qui auront été visuellement exploités cette année.
• « Weekends » ⇒ Le titre parle de lui-même. En effet, ce single relate de ces semaines interminables au boulot et de la seule chose qu’on attend finalement, à savoir le congé hebdomadaire durant lequel prendre du bon temps est le mot d’ordre, en compagnie de ses amis et se laisser aller. Les meilleures années de toute une vie selon Amy Shark qui explique que lorsque l’on a pas de responsabilités, il n’y a rien de tel que d’attendre le weekend et de traîner avec sa bande de copains, loin du stress et de la routine !
À noter que le riff de ce morceau a déjà cinq ou six ans ! L’artiste confesse qu’elle ne savait pas quoi en faire et qu’il lui était difficile d’écrire sur celui-ci. Or, à trois semaines du début de l’enregistrement de son EP « Night Thinker », elle s’est replongée dans ces quelques notes et la magie aura opéré puisque le morceau est né incessamment sous peu par la suite !
• « Drive You Mad » ⇒ Il s’agit ici d’un titre très sentimental. Amy Shark revient sur un amour fort qu’elle a connu et cette envie de le partager or, la réciprocité de la part de l’être aimé n’est pas d’actualité. Quant à ce morceau, l’australienne explique que lorsqu’elle aime quelqu’un ou quelque chose, elle le veut vraiment quitte à ne pas abandonner pour l’obtenir parce que c’est rare que ce sentiment fort l’habite.
« Je sais que je ne suis pas facile à vivre ! »
L’artiste, à travers ce morceau, aura pris du recul donc concernant sa personnalité et a décidé de dédier la chanson à ces gens qu’elle estime avoir embarrassés, réalisant qu’elle était un peu « psycho sur les bords » comme elle le dit elle-même.