Un titre introspectif, et bien plus encore !
• Le nouveau single ! ⇒ Lise Auvolat poursuit son ascension au même titre que l’exploitation de son premier EP « Zéro Limite ». Cette fois-ci, la jeune chanteuse nous revient avec l’entêtant « Ce Que Je Vaux ». Un titre fort dans lequel l’artiste a des choses à dire ! Pour l’intéressée, il s’agit d’une chanson purement autobiographique. Or, la portée du message va bien au-delà du fait de relater sa propre expérience. Car effectivement, c’est un appel à rester authentique et fidèle à ses convictions en toutes circonstances.
Dans « Ce Que Je Vaux », Lise Auvolat se confie sur le fait de ne jamais avoir été traitée avec attention lors de ses débuts. Elle déplore un certain manquement au respect, alors que ses détracteurs la vouaient à l’échec. Mais avec persévérance, détermination et patience, la demoiselle a su s’installer convenablement et séduire un vrai public dévoué. Pour preuve, elle revendique la face cachée de la réussite, tandis que ceux qui lui prédisaient un avenir incertain, voire inexistant, changent de position vis-à-vis d’elle et revoient leurs jugements respectifs à son égard. Une belle revanche pour la chanteuse victime de ce harcèlement auparavant !
https://www.youtube.com/watch?v=FL8EjyGgF6I
• La mise en scène ! ⇒ Pour le clip, Lise Auvolat scinde le scénario en deux parties distinctes. Dans un premier axe, nous la voyons subir une routine qui ne lui sied guère. Effectivement, elle se plie au bon vouloir de son patron et se fait toute petite. Mais cela n’aura duré qu’un temps, puisque l’artiste ne compte pas en rester ainsi. La suite est bien plus revendicative quant à ses aspirations. En effet, elle décide de ne plus se soucier des codes imposés. Elle défie même l’autorité en s’assumant pleinement et en remplissant les conditions qui vont déplaire à celui qui voudrait qu’elle existe uniquement dans l’ombre, sans avoir le pouvoir de se faire entendre. Et le pari est réussi, puisqu’elle s’impose face à son tyran et se délivre des chaînes qui l’ont retenue jusqu’alors.