Si vous n’êtes pas invités, cela va de soi !
• Une grande première ! ⇒ Les faits remontent au mois d’avril dernier. Taylor Swift, alors absente de son domicile, a reçu la visite inattendue d’un jeune homme qui est entré par effraction chez elle. Roger Alvarado, âgé de 22 ans, avait en effet réussi à s’introduire dans la résidence de la chanteuse à Manhattan. Alors, plus de peur que de mal au final puisqu’il ne s’est ni montré agressif, ni cambrioleur incarné. En effet, l’intéressé a simplement juger bon d’aller faire une petite sieste chez son idole, et au passage de prendre une douche. Tant qu’à faire, autant être bien propre en attendant que la propriétaire des lieux ne revienne.
Depuis quelques heures, la sentence est tombée. Le stalker de Taylor Swift, qui a reconnu les faits, a écopé d’une peine de prison de six mois. À noter qu’il s’agit là d’une récidive, puisqu’en février 2018, il avait tenter d’y faire irruption en cassant la porte d’entrée à l’aide d’une pelle. Conscient de son état psychologique préoccupant, le jeune homme a émis le besoin de suivre une thérapie en Floride, d’où il est origine, une fois sa peine purgée. C’est à un programme de cinq années intensive qu’il compte s’adonner. En espérant que cela lui soit le plus bénéfique possible !
• Filtrer la menace ! ⇒ Ce cas de figure n’est pas le premier, malheureusement, que Taylor Swift ait connu. La demoiselle avait été en effet harcelée devant son domicile par un fan, tandis qu’un autre avait été condamné à dix ans de probation. Un troisième malfaiteur, qui a voulu pénétrer dans son immeuble à New York, a quant à lui échappé à la justice, estimé psychologiquement inapte à être entendu à la barre. Ces événements devenus bien trop intempestifs, il était temps d’agir.
L’équipe de Taylor Swift a donc renforcé les dispositifs de sécurité pour assurer le bon déroulement de ses prestations notamment. Le 18 mai 2018, alors qu’elle donnait un concert au Rose Bowl de Los Angeles, des caméras à reconnaissance faciale étaient installées en toute discrétion. Celles-ci avaient pour objectif de retransmettre les images à Nashville, dans un poste assermenté, afin de comparer les photos capturées avec celles de potentiels harceleurs que l’artiste pouvait identifier.